Le Monde – Salia Sanou fait danser les temps morts et la lutte pour la survie

jeudi 22 septembre 2016


Extrait de la revue

Il semble se déplacer dans une bulle de calme et de sérénité. Qu’on le croise à Tananarive ou à Montpellier, le chorégraphe burkinabé Salia Sanou reste le même, toujours tranquille, toujours souriant. Le plus de ce tempérament positif : il contamine les autres, et c’est bon. Pourtant, à l’intérieur, ça s’agite, ça gigote, ça s’enflamme.


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