Il semble se déplacer dans une bulle de calme et de sérénité. Qu’on le croise à Tananarive ou à Montpellier, le chorégraphe burkinabé Salia Sanou reste le même, toujours tranquille, toujours souriant. Le plus de ce tempérament positif : il contamine les autres, et c’est bon. Pourtant, à l’intérieur, ça s’agite, ça gigote, ça s’enflamme.